En cette période de crise, les seniors surveillent avant tout leurs dépenses, mais nouveauté, ils commencent à réfléchir à de nouvelles sources de revenus.
85% des seniors déclarent être impactés par la hausse des prix, 45% le sont même beaucoup. Pour y remédier la grande majorité des seniors surveille ses dépenses : 89% font très attention à leur consommation d’énergie,78% surveillent leurs dépenses alimentaires ou opte pour des arbitrages, 63% vont réduire leurs loisirs.
Aujourd’hui, les économies sur les frais fixes peuvent ne plus être suffisantes. Une tendance émerge autour de la recherche de nouveaux revenus :
- 1/3 achètent ou revendent des vêtements de 2de main (30% l’envisagent),
- 20% envisagent de faire des missions ou travaux rémunérés supplémentaires (8% le font déjà),
- 14% des propriétaires envisagent de louer une chambre (5% le font déjà), 32% sont intéressés par une location longue durée à temps partiel en semaine mais ne savent pas comment faire.
Louer une chambre chez soi, une piste de revenu que 14% envisagent, sachant que 22% n’y ont jamais pensé, freinés par les formules classiques qui ne leur conviennent pas.
44% des seniors soit 7M de ménages, ont une chambre disponible chez eux : dans 45% des cas (54% chez les CSP+) cette chambre n’est disponible qu’à temps partiel : enfants partis étudier dans une autre région et revenant le week-end, hébergement ponctuel de la famille ou d’amis ….
Si 5% d’entre eux la loue (1% régulièrement, 4% occasionnellement), ils sont 14% à l’envisager sachant que 22% n’y ont jamais pensé et n’y sont pas opposés soit un potentiel de 2,5 M de chambres qui pourraient être mises en location.
Ce qui les motive : Un complément de revenus (76%), Intéressant si ce n’est pas plus de quelques jours par semaine (54%), Un plaisir d’avoir quelqu’un à la maison (37%)
Mais des freins à la location d’une chambre chez soi subsistent : Difficile de recevoir un inconnu (89%), Contrainte d’avoir un locataire à temps plein (88%), Limite l’hébergement des enfants ou d’amis (81%), Compliqué car le propriétaire n’est pas souvent chez elle / ou chez lui (52%)
Ils méconnaissent les nouvelles solutions flexibles qui répondent à leur besoin : si les modes de location classiques tels que location temps plein à un étudiant ou en saisonnier sont connus par plus de 80% des seniors, les nouveaux modes de location tels que la colocation intergénérationnelle ou la location longue durée à temps partiel restent méconnus par respectivement 40% et 75% d’entre eux.
La location longue durée à temps partiel lève les freins à la location d’une chambre chez soi : une formule originale qui séduit 1/3 des seniors ayant une chambre disponible en semaine
Pour ceux qui ont une chambre disponible, la louer dans la durée à temps partiel représenterait un complément de revenus de la part d’un locataire de confiance qui revient chaque semaine. Ils ont bien conscience que cela leur apportera moins que la location à temps plein mais l’avantage de ne pas avoir une personne à temps plein l’emporte.
Des bénéfices bien perçus par ceux qui louent déjà leur chambre ou ont l’intention de le faire et qui lèvent les freins de ceux qui n’ont pas encore sauté le pas. 32% de ceux qui ont une chambre souhaiteraient en savoir plus sur la location longue durée à temps partiel (56% des propriétaires parisiens**), 24% envisagent d’utiliser ce mode de location soit 2,24M de personnes intéressées et 1,7M d’intentionnistes.
WeekAway, un mode de location qui séduit des personnes qui n’ont jamais loué ou qui ne souhaitent plus avoir un locataire à temps plein
1ère plateforme de location longue durée à temps partiel, WeekAway permet aux actifs qui ne vivent pas à proximité de leur lieu de travail, par choix personnel ou lors de mutation, de se loger quelques jours chaque semaine quand ils y retournent.
Avec l’accélération de la mise en place du télétravail, ce phénomène s’est rapidement répandu en France. De nombreux actifs se sont éloignés de leur lieu de travail pour un meilleur cadre de vie, tout en conservant leur emploi dans leur région d’origine : ils ont ainsi besoin d’un logement récurrent en semaine près de leur bureau, véritable 2nd chez soi dans lequel ils peuvent laisser des affaires. Ils représentent 19% des salariés d’Ile de France qui font du télétravail, soit 550 000 personnes, selon une étude OBSOCO / Forum Vies Mobiles réalisée en février 2022. Sur l’ensemble du territoire ce serait aujourd’hui près de 800 000 personnes en mobilité récurrente qui doivent se loger près de leur bureau, près de 1,5 millions d’ici 5 ans.
Le weekaway est un locataire idéal : peu présent (à son bureau la journée et rentre chez lui le week-end), c’est un locataire de confiance dont on connait le lieu de travail et qui, une fois qu’il a trouvé une solution de logement, fait tout pour que cela se passe bien car sa motivation première est de créer une routine autour de son retour au bureau.
WeekAway lève ainsi les freins à la location d’une chambre chez soi, ce que confirment les hébergeurs WeekAway que nous avons interrogés** :
• 50% n’avaient jamais loué une chambre avant d’être sur WeekAway
• Les avantages : complément revenus (67%), flexibilité (64%), intimité préservée locataire peu présent (40%), confiance et discrétion des locataires (31%)
• 83% sont satisfaits et 70% recommandent WeekAway
WeekAway, une solution simple et flexible qui lève les freins à la location d’une chambre chez soi et répond de façon spécifique aux nombreux propriétaires à la recherche de revenus complémentaires.
*Source étude Poll&Roll auprès d’un échantillon représentatif de 400 personnes âgées 50 ans et + , réalisé du 21 au 23/11/2022
** étude réalisée via Facebook sur des groupes privés parisiens, novembre 2022
*** questionnaire envoyé en octobre 2022 aux 600 hébergeurs ayant publié leur annonce sur weekaway.fr
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